Une forêt en automne. L'odeur du bois humide, les feuilles qui crisse sous les pieds, le vent souffle entre les feuilles, les feuilles crient. Un air pur vous caresse le visage, fermez les yeux et remplissez votre organisme de cet air pur. Les cheveux au vent, vous souriez. Vous vous asseyez sur un tronc, vous videz les pensées oppressives de votre coeur. Une larme coule, est-ce le vent ou le bien-être ? Vous essuyez cette larme qui s'échappe jusqu'à vos lèvres. Votre mémoire photographie ces lieux où oppression n'est plus. Et vous repartez le coeur léger.
Vendredi 7 novembre